Le très dynamique aéro-club Brocard a fait le choix de l’Elixir, avion certifié CS-23, pour renouveler une partie de sa flotte cette année. L’équipe dirigeante avait rendez-vous chez Elixir Aircraft lundi 11 avril afin de prendre livraison de leur premier appareil, le MSN006 et réceptionner le second le MSN008.
Club exemplaire dans sa gestion, avant de s’engager dans l’achat de 2 Elixir, les équipes de l’aéro-club Brocard ont mûri leur réflexion. Journée découverte, essais en vol, visite des infrastructures de production, échange technique sur l’appareil et notamment sa maintenance… les discussions ont été riches. L’avionneur charentais s’attache à accompagner les aéroclubs ou les particuliers dans leur processus d’achat en approfondissant au maximum leur réflexion sur l’usage de l’avion bien évidement, mais aussi sur ses coûts d’exploitation, le nerf de la guerre des aéro-clubs.
Rappel du calcul des coûts d’exploitation :
Avion d’ancienne génération = 140€ / h (essence et maintenance) x 450 h/an x 20 ans + 50 000€ TTC (avion d’occasion) = 1 310 000€ sur 20 ans
Elixir = 40€ / h (essence et maintenance) x 450 h / an x 20 ans + 282 000€ TTC (prix d’achat d’un Elixir neuf, de série) = 642 000€ sur 20 ans
Afin que l’aéro-club Brocard puisse utiliser ces 2 appareils le plus rapidement possible une fois la livraison effectuée, Elixir Aircraft a comme prévu pour chaque appareil acheté, formé les instructeurs de l’aéro-club essonniens. Ainsi les élèves de l’aéro-club parisien vont pouvoir dès cette semaine effectuer leur premier vol en Elixir.
Alain Provost, président de l’aéro-club du Brocard, nous dit : « En tant que président ce qui m’a séduit, c’est la visite que nous avons fait à la Rochelle. C’est la rencontre avec l’équipe qui nous a plu. L’équipe est talentueuse, nous l’avons trouvé réactive et chaque point sur l’avion est bien pensé. Toutes les études élaborées ensemble nous permettent d’avoir une belle visibilité sur le cout d’exploitation. Notamment le remplacement des « avions lourd ». Le petit vol que j’ai effectué m’a littéralement bluffé. »
